La valse de mes soupirs
La valse de mes soupirs
En eaux dormantes, fleuve indolent,
Ma vie s’étire paisiblement.
Je soupire d’ennui, alanguie,
L’esprit voguant aux rêves lointains.
Les vestiges épars de mon cœur
Glissent lentement sur l’onde claire
Et je soupire après mes erreurs
Et j’en oublie les heures amères.
Je me souviens de ce tendre émoi
De mon cœur affolé, rougissant
Et les soupirs qui naissaient pour toi
Déjà le jour s’en va, finissant.
L’heure est à l’été, et je m’en vais
De mon pas trop pressé d’oublier
Les soupirs merveilleux qui savaient
Si bien réchauffer mon cœur glacé.
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